le manifeste du 20 mars condamne fermement ces attaques ad hominem.
Après les menaces et les agressions verbales, les figures de "la nouvelle opposition" semblent être l'objet d'attaques brutales de certains contre-révolutionnaires. Ces violences sont devenues systématiques et aujourd'hui (21 Avril 2012) à Kébili, des militants de la société civile; dont Jaouher Ben M'barek qui a du être hospitalisé d'urgence; ont été pour la énième fois pris pour cible.
Alors qui sera le prochain, et à qui doit on ce crescendo bien orchestré de déchaînement contre les activistes de la Tunisie post-14 janvier?
Nous n'accusons personne sans preuves, mais nous réprouvons ces agissements qui font basculer le pays dans un climat de tension et déplacent le débat qui devrait tourner autour du Travail de la Dignité et de la Liberté.
Que les agresseurs portent de vraies ou de fausses barbes le résultat est le même, et nous leur déclarons que Nous militants du Manifeste, nous nous ne laisserons jamais prendre ce que nous avons acquis au prix du sang et de la vie de nos enfants.
Vive la Tunisie plus libre que jamais, 55 ans de dictature et d’oppression ne nous ont pas découragés.Vive la résistance, ces pratiques qui visent à manipuler le peuple afin de faciliter l'instauration d'une nouvelle dictature resteront vaines.
Courage Jaouher.
No pasarán!!!
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